On ne joue plus à la cachette, toi et moi. On ne passe plus par 60 chemins quand on décide de se voir un soir de semaine après le travail.
C’est clair que nous passons toujours de merveilleux 5 à 7 à boire des cocktails à notre speakeasy favoris, mais la réalité c’est que dernièrement, on ne peut retenir nos envies, nos passions.
C’est comme ce soir, ou je suis entré chez toi et tu m’attendais déjà dans ta lingerie de dentelle la plus révélatrice. Tu ne tardes pas et dès l’instant que je ferme la porte, j’ai ta voluptueuse poitrine contre mon torse, tes mains sur la boucle de ma ceinture et tes somptueuses lèvres sur les miennes.
Tu goutes encore le vin rouge que j’ai apporté l’autre soir et que tu n’as pas voulu partager avec moi. Tu es égoïste quand on parle de bouteilles de vin et chaque fois tu me le rappelles en buvant un verre avant chacune de nos rencontres…
Mais cette fois-ci, je ne te laisserai pas faire ton jeu comme tu l’entends.
Dès le moment que tu libères ma verge de sa prison de denim, j’empoigne ta crinière et te regarde dans les yeux. Je t’embrasse une dernière fois avant de te baisser de force vers mon membre. Tu souris, car tu sais ce que je veux que tu y fasses et tu t’y mets, comme la petite salope que tu es.
Tu la dégustes à chaque va-et-vient, quand je te trouve trop gourmande, j’extirpe ma queue et te donne une bonne gifle, tu souris encore plus et tu gémis de plaisir avant de retourner la dévorer.
Puis je te tire les cheveux une dernière fois, tu en as eu assez pour l’instant. Je lâche mon emprise seulement pour m’extirper du reste de mes vêtements. Tu restes sagement à genou et je me place derrière toi. Verge glisse entre tes fesses et se frotte sur ta vulve ruisselante. Tu frémis à la sentir se frotter, mais je ne te donne pas satisfaction, je place deux doigts dans ta bouche et t’ordonnes de les sucer. De mon autre main, je malaxe ta poitrine, donne des petites tapes comme tu les aimes et continue mon jeu sur ta chatte.
Tu aimes tellement ça, tu ne peux t’empêcher de gémir en bonne petite pute, tu veux plus, tu caresses mes bras, tu te frottes sur moi.
Je reprends une poignée ta crinière de cheveux et te pousse visage contre terre. Je veux que tu te caresses pendant que ma verge glissera sur ton cul. Tu ne pourras pas avoir le plaisir de m’avoir en toi, pas maintenant. Tu dois être encore puni pour le vin non partagé.
Tu m’obéis, tu glisses tes doigts en toi, cuisses ruisselantes, tu sens mes mains envahir tes fesses, les explorer, avoir moi doit flirter avec ton autre trou. Quand tu es trop bruyante, je te donne la fessée sur tes fesses qui deviennent rapidement écarlates.
Tu n’en peux plus, tu me supplies de te prendre de toutes mes forces… Et je m’y donne, juste parce que tu agis comme la petite chienne que tu es…