Toi, moi, ce soir…

Toi, moi, ce soir…

On ne joue plus à la cachette, toi et moi. On ne passe plus par 60 chemins quand on décide de se voir un soir de semaine après le travail.

C’est clair que nous passons toujours de merveilleux 5 à 7 à boire des cocktails à notre speakeasy favoris, mais la réalité c’est que dernièrement, on ne peut retenir nos envies, nos passions.

C’est comme ce soir, ou je suis entré chez toi et tu m’attendais déjà dans ta lingerie de dentelle la plus révélatrice. Tu ne tardes pas et dès l’instant que je ferme la porte, j’ai ta voluptueuse poitrine contre mon torse, tes mains sur la boucle de ma ceinture et tes somptueuses lèvres sur les miennes.

Tu goutes encore le vin rouge que j’ai apporté l’autre soir et que tu n’as pas voulu partager avec moi. Tu es égoïste quand on parle de bouteilles de vin et chaque fois tu me le rappelles en buvant un verre avant chacune de nos rencontres…

Mais cette fois-ci, je ne te laisserai pas faire ton jeu comme tu l’entends.

Dès le moment que tu libères ma verge de sa prison de denim, j’empoigne ta crinière et te regarde dans les yeux. Je t’embrasse une dernière fois avant de te baisser de force vers mon membre. Tu souris, car tu sais ce que je veux que tu y fasses et tu t’y mets, comme la petite salope que tu es.

Tu la dégustes à chaque va-et-vient, quand je te trouve trop gourmande, j’extirpe ma queue et te donne une bonne gifle, tu souris encore plus et tu gémis de plaisir avant de retourner la dévorer.

Puis je te tire les cheveux une dernière fois, tu en as eu assez pour l’instant. Je lâche mon emprise seulement pour m’extirper du reste de mes vêtements. Tu restes sagement à genou et je me place derrière toi. Verge glisse entre tes fesses et se frotte sur ta vulve ruisselante. Tu frémis à la sentir se frotter, mais je ne te donne pas satisfaction, je place deux doigts dans ta bouche et t’ordonnes de les sucer. De mon autre main, je malaxe ta poitrine, donne des petites tapes comme tu les aimes et continue mon jeu sur ta chatte.

Tu aimes tellement ça, tu ne peux t’empêcher de gémir en bonne petite pute, tu veux plus, tu caresses mes bras, tu te frottes sur moi.

Je reprends une poignée ta crinière de cheveux et te pousse visage contre terre. Je veux que tu te caresses pendant que ma verge glissera sur ton cul. Tu ne pourras pas avoir le plaisir de m’avoir en toi, pas maintenant. Tu dois être encore puni pour le vin non partagé.

Tu m’obéis, tu glisses tes doigts en toi, cuisses ruisselantes, tu sens mes mains envahir tes fesses, les explorer, avoir moi doit flirter avec ton autre trou. Quand tu es trop bruyante, je te donne la fessée sur tes fesses qui deviennent rapidement écarlates.

Tu n’en peux plus, tu me supplies de te prendre de toutes mes forces… Et je m’y donne, juste parce que tu agis comme la petite chienne que tu es…

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J’ai une employée…

Je pourrais commencer par parler du pourquoi et du comment de ma longue absence du blogue ou de pourquoi mes écrits sont si rares. Ce serait simplement une perte de temps pour moi et pour toi, cher lecteur. Laisse-moi plus tôt t’exposer ce qui me passe par ma tête en ce moment.

J’ai une employée…

Depuis que j’ai arrêté d’écrire, j’ai été occupé, fonder ma propre entreprise, j’ai tout de même eu de multiples aventures, amantes ici et là. Mais j’ai eu du mal à concilier travail famille et ma seconde vie d’oiseau volage. Mais voilà, j’ai ce fameux fantasme qui m’est revenu… Car maintenant j’ai des employés à ma solde, qui travaillent bien fort et qui sont dévoués. Mais il y en a une qui me travaille… Qui me donne envie de me mettre en eau trouble simplement pour gouter à ce fruit défendu.

Elle est de presque dix ans ma cadette, elle arbore ce petit look punk goth et ses réactions s’apparente souvent à celui d’un petit chaton surpris. Elle est belle, adorable, silencieuse et semble toujours vouloir faire de son mieux. Elle n’est pas si grande, mais elle est mince, jolie, pâle et envoutante. J’y parle souvent lorsque je lui donne une tâche et bien souvent, on finit par parler de certaines choses entre nous. Toujours dans un respect des plus professionnel.

Mais un soir, possiblement un verre de rhum au nez, j’ai été un peu direct avec et j’ai été surpris de voir qu’elle aussi avait un peut d’intérêt en ma personne. La conversation a vite pris des pointes coquines et j’ai su ses préférences. Il faut dire que ses photos Facebook laissaient présager ce qu’elle me révélait. Elle faisait partie de la scène BDSM et aime souvent le sexe très vigoureux, voire violent. Elle adore se faire attacher et se faire dominer.

Que de plaisir d’entendre tout ça…

J’ai un désir…

Nous devons nous rencontrer bientôt pour partager un verre ensemble à son appartement, ou je jouerai le rôle de bartender. J’ai simplement envie de voir à quel point elle à envie de pousser l’enveloppe avec moi sur ce point. De voir si elle veut bien devenir ma concubine d’un soir.

De l’embrasser sur ses lèvres pour ensuite glisser ses mêmes lèvres sur ses mamelons irisés, les mordiller et les lécher. J’ai envie de la gifler si elle est trop bruyante dès le départ. Je ne veux pas qu’elle se montre trop enthousiaste à l’idée de son patron en elle.

J’ai envie de la plaquer contre un mur, de lui caresser très vigoureusement la vulve tout en l’embrassant, pendant qu’elle reste prisonnière de mon emprise. Je lui tiendrais la gorge doucement et la ferais jouir de mes doigts…

Telle serait une petite partie de mes désirs. Je vous en partagerai d’autres bientôt.

-Olivier

 

L’appel de la France

Celà fait horriblement longtemps que je n’ai pas caresser les douces pages de mes chroniques de récits pervers et indécents. Pour être honnête avec vous, ce n’est pas par manque d’aventure mais bien par manque de temps à donner un peux d’effort pour fournir ce blogue de mes pensés indécentes et délicieuses.

Mais je dirais que ces temps-ci, bien de mes comparses de discussions viennent de l’autre côté de l’Atlantique. Elles me parle et me charme, m’intéresse et font bruler mon intérêt d’aller visiter le vieux pays. Je ne dirais jamais nom à visiter une contrée lointaine, particulièrement si ma visite touristique est ponctués de délicieux moment pervers avec de magnifiques nymphes.

Mais j’ai aussi offert mes services comme guide dans le Québec pour mes amis français qui voudrait bien venir voir notre beau pays ainsi que les merveilleux amusements de luxure qu’il offre. Particulièrement en été ou certaines tenus de mesdames provoquent des désirs puissants.

J’ai envie de leurs donner les ébats puissants et de leur laisser me savourer. De les savoirs totalement soumise à nos désir charnels.

Qui sait, ce pourrait être pour bientôt!

« Dirty Nymph »

Un titre anglais pour une aventure tout ce qui a plus de Québécoise! La semaine dernière, au travail, je commence à rédiger mes maintenant célèbres « Mercredi Sexe » sur mon fil Twitter. J’ai pu obtenir plusieurs lecteurs et lectrices avides qui s’amusent à lire ses tribulations de poche rapidement consommée. J’adore lire les réponses des différentes personnes qui me suivent et parfois s’extase à les lire.

Puis un nouveau visage apparait sur celles et ceux qui me répondent. Son image sur Twitter m’accroche de ses cheveux d’une couleur de feu. Je m’y mets et la salue en messages personnels. De fil en aiguille, j’apprends qu’elle habite la capitale de la province, Québec, qu’elle me lit depuis peu et semble fortement intéressé à me connaitre. Nos twits sont rapidement devenus salaces et très chauds. Plus le tout continuait, plus il m’était dur de me lever de mon siège, une bosse dans un pantalon n’est malheureusement pas une excellente chose à montrer au bureau!

Puis je lui dis, premièrement en blague, qu’elle me donne bien l’envie de faire 300 km pour la voir… la toucher… la baisée.

Elle me répond prestement qu’elle aimerait bien et puis de fil en aiguille, le plan commence à s’échafauder et rapidement, mon weekend, du moins, ma journée de samedi, se dessine pour être extrêmement bourrée d’excitation et de gémissement. La suite de la semaine n’était que pure torture avec elle, nous nous écrivions en détail comment se passerais les premiers ébats et encore une fois, le syndrome de pas se lever du siège reviens me hanter quelques fois par jour.

Mais encore fallait-il trouver un alibi pour que ma femme ne se doute de rien, après tout, partir sur un « road trip » à Québec sans explication peut faire en sorte qu’elle se pose de nombreuses questions, du fait, mon deuxième emploi sert aussi de couverture à ces voyages improviser. Prétextant rencontrer quelqu’un pour ce travail, elle a tout pris. Naturellement, avant de partir, elle ne pouvait me laisser sans un petit souvenir. Le jeudi soir, nous avons fait l’amour de manière animale et vigoureuse. Elle de son côté est satisfaite pour un petit bout, je pouvais partir l’esprit tranquille vers la capitale et assouvir mes nouvelles envies.

Les trois heures de route furent réellement un calvaire, mais dès mon arrivée, l’accueil fut plus que plaisant. Elle m’attendait, en petit déshabillé rouge et noir, sans dessous, souriante et pleine d’envies perverses… J’en étais ravi.

Après 15 petites minutes de discussions, mes lèvres trouvèrent les siennes et mes mains était dans sur ses seins. Nos langues dansèrent un délicieux et sensuel tango tandis que nos mains s’y mettaient à caresser de multiples parties de nos corps. Ce ne fut pas long avant que nous ayons transféré à la chambre à coucher et que mes doigts ont trouvé rapidement sa vulve moite de désir. Elle de son côté c’est affairé à défaire mon pantalon et libérer ma verge très dure. Sa bouche s’est mise au travail et j’en étais que figé de plaisir pendant que de nombreuses stimulations attaquaient le gland de mon membre.

Mes doigts, eux, continuaient de pistonner sa chatte maintenant ruisselante, à chaque entrée, elle me le faisait savoir d’un délicieux gémissement. Quelques minutes plus tard, j’explose dans sa bouche et de son côté s’assure qu’aucune ne goute de ma semence chaude n’échappe de sa bouche. Une fois terminé, je m’affaire à sa chatte et lui offre une longue et très savoureuse léchée de sa perle. Ses gémissements n’étaient que le carburant dont j’avais besoin pour continuer à lui dévorer sa chatte chaude.

Quelques moments plus tard, elle me demande de la prendre, telles nos discussions, elle se met à quatre pattes et me présente sa chatte, toujours si humide. Ma queue revenue dure après une période de repos, je me glisse en elle et nous reprenons nos ébats avec intensité… Puis avec son accord, j’ai passé par la porte de derrière et lui ai donné une séance très satisfaisante d’anale. Réellement, ce fut le pied!

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Mon retour, quant à lui, a été relaxe, mais plaisant, je ne pouvais rester le matin pour continuer, étant attendu chez la belle famille pour l’heure du diner, à Mirabel… Mais ce fut un 3 heures de route plein de belles images!

En route (Partie 1)

Ça faisait un bout que je n’avais pas eu la chance de profiter d’une escapade avec une de mes amantes, un weekend complet sans avoir à appeler ou de donner des comptes à quiconque. Mon alibi, un congrès de formation à Toronto quand en fait, je partais en direction d’Ottawa pour aller voir une belle amie Ontarienne.

Nous nous étions donné rendez-vous devant son bureau le Vendredi soir. Dès qu’elle monte, je vois qu’elle avait pris avec soin son tailleur pour attirer mon regard, décolleté plongeant, ses jambes presque découvertes avec sa jupe à ras les fesses. Un joli motif se dessine sur ses bas collants. Bref, j’avais une difficulté incroyable à la regarder droit dans ses yeux vert profond… Mais elle ne me laissa pas la chance de pouvoir la regarder et ses lèvres rejoignaient déjà les miennes et sa langue valsait avec la mienne.

Après ce long baisé, elle me regardait du siège passager et caressait le galbe de ses seins en me lançant «I missed you»… Moi aussi, elle m’avait manqué…

Une fois mis en route, nous avions décidé de notre restaurant qui était à plus d’une demi-heure de voiture. Qu’à cela ne tienne, nous étions déjà en route vers notre possible bouffe.

Nous conversations de choses et d’autre, mais je remarquai vite qu’elle faisait plusieurs choses en même temps. Ses mains caressaient sa peau et pétrissaient ces seins généreusement. Ma concentration divergeait entre elle et la route. Elle respirait fort, gémissait à caques touchées. Puis sa main se glissa entre ses jambes et je compris que ce n’était pas que des collants, mais bien des basses jarretelles qu’elle portait.

Mes yeux rivés sur la route, j’entendais ses doigts frotter sa chatte excessivement mouillée, ses doigts faisaient un va et viens sonore qui n’y allait que de vitesse et rapidement les gémissements était remplacé par des cris. Puis… Plus rien.

Un regard furtif sur la scène me fit voir que non seulement elle était maintenant avec ses mamelles sorties de son décolleté, mais ses jambes écartées et donnant pleine vu sur sa chatte excessivement moite. Elle ne prit pas un moment de repos et sa main vint se porter sur mon jean, plus précisément mon entrejambe…

À suivre…

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Bien pétrir et remuer pour meilleurs résultats

Depuis peu, je fréquente cette belle que j’ai rencontrée entre deux verres durant une soirée au bar. Elle m’invite chez elle, je suis surpris de son engouement étant donné que je sais très bien que son petit ami de longue date habite chez elle. Elle apaise mes craintes en m’annonçant qu’elle serait seule avec moi. J’accepte l’invitation sans hésiter.

Elle possède un joli appartement, bien décoré, je vois encore des boites un peu partout. Il ne faut pas être un Sherlock Holmes pour comprendre que son petit ami a emménager depuis peut. L’appartement reste avec les touches féminines et je pourrais même dire, invitante à la sensualité. Après notre premier ébat dans une chambre d’hôtel, je savais ce que signifiait que son petit manège chez elle.

Elle m’installe à table pendant qu’elle cuisine, un petit ilot nous sépare, mais je peux parfaitement voir ses jolies courbes, particulièrement lorsqu’elle se penche pour aller chercher quelque chose dans ses tiroirs. Sa petite taille fait en sorte qu’elle est particulièrement mignonne à regarder. Je suis trop excité et rapidement, à force de la regarder faire, mon membre se gonfle. Je n’en peux plus, il me la faut… Maintenant.

Je me lève discrètement et me place derrière elle et glisse ma main sous sa minijupe. J’y découvre une absence de culotte et une chatte bien lisse. Elle sursaute, mais ne se défait pas de mon emprise, elle présente plutôt son cou tout en continuant de prendre soin que la sauce ne stagne pas. Je lui donne de doux baisé et mes doigts se glisses sur sa vulve et puis ils s’immiscent à l’intérieur. Elle soupire plus fort et gémis, habilement je caresse son petit clitoris déjà bien dur et elle me prend du revers de sa main et caresse la bosse déjà bien définie dans mes pantalons.

Je la pénètre avec mes doigts, elle lâche prise et s’agrippe au rebord du comptoir. Je les glissent rapidement dans sa vulve. Son dos arche et elle bombe ses fesses de plus en plus. Elle me supplie de la prendre. J’arrête et défais la fermeture éclair de mon pantalon. J’y glisse ma verge bien gonflée en elle. Elle crie, elle me dit « Oui, oui, continu… » .J’agrippe ses fesses, je la prends avec une intensité animale. Elle en redemande plus, j’accentue la vigueur.

Puis après de longues minutes de pur plaisir lubrique, j’explose en elle tout en séparant ses fesses. Je retire ma queue bien dure et la replace dans mon pantalon, elle replace sa jupe malgré sa chatte emplie de mon foutre chaud.

Je me rassois et elle continue de préparer le repas, comme si de rien était.

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Chez les érudits

Ça va faire un bail que je n’ai pas écrit mes aventures. Il faut croire que ma vie pleine de rebondissements et revirements m’empêche de continuer ma quête de plaisirs sensuels et coquins. Vint une amante qui me dit simplement que s’en était fini beaucoup trop tôt… Puis un vide puis un calme…

Mais rapidement, le destin a voulu que ma quête pour du plaisir divin recommence à nouveau! Quand on parle de calme, on parle de possibilité, de recherche, d’amusement, d’aventures… C’est ce qui s’est passé avec cette jolie femme rencontrée dans un lieu bien peu ordinaire…

En sortant du bureau, je commence mon deuxième emploi, qui constitue d’écrire, mais malheureusement pas ici! Étant donné que la maison n’offre pas souvent l’opportunité de calme et cette possibilité de ce concentré, je cherche souvent des lieux plus saillants à mon activité qui demande les facultés d’un cerveau déjà endormis par le travail du jour. Les cafés sont, malheureusement pour moi, trop bruyants ou trop intéressants pour que je puisse être à ma pleine efficacité…

J’ai alors élu les bibliothèques universitaires, qui servent de dortoirs et de salles d’étude pour la majorité des gens du milieu, par chance, certaines sont ouvertes au public et donc, je m’en sers souvent comme bureau clandestin pour mes écrits. Rare se fait les âmes qui peuvent me distraire… C’est donc un endroit de prédilection pour ma matière grise qui n’en peut plus d’être utilisé.

Mais ce soir, alors que j’étais dans ma zone et que tout semblait pointer pour finir ce maudit texte qui trainait depuis beaucoup trop longtemps… Une femme aux cheveux noirs, au joli visage rayonnant. Vêtue d’un simple chandail avec une encolure en V noire et une jupe souple mi-cuisse et de petit soulier ballerines tous deux noir également vint s’assoir à mes côtés. Je fus quelque peu surpris étant donné que la table de travail était relativement vaste et que j’y étais le seul assis. Spécialement du très joli sourire dont elle m’a donné le pur plaisir de voir.

Clairement, je ne crois pas que ses livres de droit, avec lesquels elle est arrivée, étaient l’accent de sa visite ce soir…

Mais étant donné que j’étais sur un délai plus serré pour mon texte, j’ai rapidement brisé de mon envoutement pour rapidement retourner à mes successions de mots. Ce n’est que quelques petites minutes plus tard que j’entends un soupir. D’un coin de l’oeil, j’observe cette divine beauté qui semble lire, mais ce qui me semblait quelque peu étrange était le fait qu’elle était plus reculée que la posture normale sur le banc long en bois. Autre petit détail, sa jupe était assez relevée pour que je remarque que ces bas collants sont tenus par une jolie jarretière…

N’étant pas sur si elle voulait attirer mon attention ou non, je retournai à mes textes encore une fois… Mais pas plus que 30 secondes plus tard, sa main effleure la mienne et mon regard se tourne et immédiatement, sa cuisse est presque dénudée de son tissu… Je compris l’astuce et répondis alors à l’invitation de cette charmante femme.

Je fis semblant de ne pas voir son audacieuse proposition silencieuse et j’attendis qu’elle retourne fouille dans son bouquin, cuisse toujours dénudée… Puis ma main était sur sa cuisse… Au début, je l’effleurais doucement, sans vouloir prétendre… Son visage était divin à regarder… Elle ne pouvait pas trahir sa tranquillité, ce qui donnerait à un passant un signal que quelque chose d’inhabituel est en train de se tramer!

Ma main se mit plus fermement sur la peau douce de sa jambe. Elle semblait adorer cette certaine fougue et elle joignit sa main sur la mienne pour mieux la guider vers où elle voulait que je la caresse… Rapidement, l’autre jambe était touchée par ces caresses qui n’arrêtaient donc plus… Et chaque fois que j’étais près de sa chatte, je pouvais sentir une chaleur incroyable émanant de celle-ci et entendre un soupir retenu de cette charmante liseuse de livre.

Éventuellement, mes doigts commencèrent à travailler doucement son entrejambe, sa culotte de dentelle trahissait les envies de ma tentatrice. Celle-ci était mouillée à souhait et je ne pouvais m’empêcher de sourire à cette réalisation. Et sans cérémonie, je déplace le tissu pour explorer sa vulve chaude. Elle échappa un petit gémissement étouffé lorsque j’atteins sa petite perle précieuse. Mes doigts étant maintenant sur de sa location, se concentrerez sur celle-ci.

Sa main qui me guidait n’était plus sur la mienne, mais bien sur mon entrejambe caressant mon membre durcissant à chaque passe. Mais elle ne semblait pas pressée de le sortir… Sage femme, car ceci pourrait escalader trop rapidement!

Pendant qu’elle s’affairait à me retourner l’appareil, mes doigts n’en étaient plus à la caresser, ils étaient maintenant bien enfouis dans sa chatte ruisselante. Chaque petit coup la faisait encore plus craquer de ses aires studieuses.

Mais elle me retira la main de là très rapidement et suça mes doigts. Elle prit ses livres et fit signe de suivre… Probablement pour continuer cette intéressante étude chez les érudits…

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Double espresso

Le matin, j’aime aller au café près de mon travail, cette machine qui mâche des travailleurs moroses et qui recrache des travailleurs un peux plus heureux, avec un verre en papier empli de leurs saluts. Les files d’attente sont ridiculement longues, mais je suis rarement pressé, car chaque matin, j’aime prendre mon temps et déguster mon premier café à une table tout en admirant la jungle urbaine de Montréal de la baie vitrée du restaurant.
Depuis un certain temps, je peux me permettre de faire un salut au chef barista, maintenant un bon ami à moi et ma commande, un double espresso allongé, sont passé, pas de file d’attente, pas de pied de grue, je suis assis devant ma baie vitrée et j’attends que mon nom soit crié, dans la cohue des serveurs. À la réception du café, on retrouve son nom à la tasse, étrangement, le point sur l’I, depuis quelque temps, est remplacé par un coeur. Un regard au comptoir et on voit qui est le malfaiteur!

Une des baristas, une fille d’environs 20 ans, prend un plaisir presque effrayant de crier mon nom et de me servir le café avec le sourire. Il faut aussi dire qu’elle m’est tombée dans l’oeil la première journée que j’ai mis les pieds dans l’établissement. Elle de taille moyenne, cheveux noirs d’encre avec quelques piercings et un tatouage sur le bras. Son uniforme cache quelque peut de ses courbes, mais on peut rapidement noté qu’elle bénéficie d’une poitrine ajustée à sa taille. Ses cheveux toujours attachés en queue de cheval. Vous me direz que cela fait contraste avec moi, l’homme en chemise, pantalon propre et soulier de villes, mais c’est que j’ai un faible pour ces femmes avec un côté fou et un peux plus agressif.

Ce matin, comme l’habituel, je commande mon café, m’assis et attends. Mais cette fois-ci, ce n’est pas ma belle barista qui me lance l’appel. Bien déçu, je récupère mon café du proprio et va me rassoir à ma place. C’est alors que je remarque qu’il y a bien plus que mon nom d’écrit sur le verre de café.

« Olivier, la ruelle derrière le café, dans 10 minutes… » -M

Par en jugé l’écriture, nul doute que ma barista veut me voir à l’arrière, je sirote alors mon café doucement, chaque minute se faisant attendre… Puis 2 minutes avant le temps prescrit, je prends ma veste et me dirige vers cette ruelle. La lumière du matin ne se rends pas encore et il fait relativement sombre, néanmoins, je discerne la silhouette familière de la serveuse. J’arrête devant elle et elle me lâche de sa belle voix un joli « Salut ».

Sans que j’aie le temps de répondre, ses lèvres étaient sur les miennes avec ses bras autour de mon coup. Rapidement, nos langues s’entremêlent et nos mains caressent rapidement nos corps. Mes mains se retrouvent sous son chandail de travail pendant qu’elle continue d’explorer chaque recoin de ma langue avec la sienne. À ma surprise, mes mains n’atteignirent pas un soutien-gorge, mais une poitrine bien ferme avec des mamelons érigés d’excitation… Nul besoin de vous dire que ce n’était pas la seule chose d’ériger dans cette altercation…

Elle me lâche la bouche suivant un filet de salive de notre très long french… Elle me sourit avec un regard des plus mesquins et s’accroupit devant moi. Ses mains et ses petits doigts agiles ne prennent que quelques secondes pour relâcher mon pantalon pour y déloger ma verge durcie. Elle l’empoigne d’une main et elle commence à exécuter un va et viens constant, ses yeux rivés sur les miens avec un des sourires les plus cochons qui m’est eu donnés de voir. Sa bouche se rive sur mes testicules et les lèches tout en me masturbant vigoureusement.

Puis sa langue remonte le long de ma queue, doucement et de manière agonisante jusqu’au gland et puis fait le tour de ce dernier en faisant sûr qu’aucun millimètre n’est pas passé sous sa langue percée. Puis sa bouche s’applique finalement, mais suce de manière plus que féroce, je sens l’étroitesse de sa bouche avec la succion qu’elle donne. Au même moment, ma main agrippe sa queue de cheval et la tire, pour montrer mon appréciation…

Elle enchaine avec des presque coups de tête pour sucer ma queue, le relâche de temps en temps pour rire et me demander si j’aime me faire sucer par elle… Bien sûr que j’y réponds oui! Et elle continue de plus belle… Ce beau manège aura duré une vingtaine de minutes… J’explose dans sa bouche, mais quelques gouttes de mon foutre tombe sur son gilet… Elle avale le reste et puis m’embrasse langoureusement… Elle me dit que ces taches passeront pour du lait et puis elle me remercie du déjeuner que je lui ai procuré…

Elle retourna dans le café et moi, vers mon travail… C’était vraiment plus efficace qu’un double espresso ce matin!

La magie du texte

Hier, j’ai eu une soirée merveilleuse avec une amante. Sauf qu’elle n’était pas à mes côtés… La fatigue, la distance et le manque de temps ont fait en sorte que nous avons échangés en DM toute la soirée.

La conversation commence normalement après que nous nous somme entendus sur le fait que nous ne pourrions nous voir durant cette soirée. Un peux déçu de cette issue, j’ai tout de même demandé à cette muse de mes désirs ce qu’elle ferait si j’était au pas de sa porte, avec une bouteille de vin, immédiatement.

Puis commença un jeu de seduction par texte qui se perpétua durant une bonne heure, elle était allumé mais intimidé, je pris mon temps, caresse virtuelles et de presque-baisés. Puis elle me confie qu’elle mouille abondament. Je lui révèle, par réciprocité, que ma verge, bien gonflé, pulsait à l’envie de la pénétré…

Nos échanges devenait de plus en plus coquin… Je ne pu résisté et vint en passant à elle, ses seins contre ma poitrine, ma verge bien au fond de sa vulve et nos bouches connectés.

Son dernier message avant qu’elle ne vienne à son tour:

« Fait moi jouir avec tes mots »

Une très belle soirée et j’espère que ce ne sera pas la dernière!