Un titre anglais pour une aventure tout ce qui a plus de Québécoise! La semaine dernière, au travail, je commence à rédiger mes maintenant célèbres « Mercredi Sexe » sur mon fil Twitter. J’ai pu obtenir plusieurs lecteurs et lectrices avides qui s’amusent à lire ses tribulations de poche rapidement consommée. J’adore lire les réponses des différentes personnes qui me suivent et parfois s’extase à les lire.
Puis un nouveau visage apparait sur celles et ceux qui me répondent. Son image sur Twitter m’accroche de ses cheveux d’une couleur de feu. Je m’y mets et la salue en messages personnels. De fil en aiguille, j’apprends qu’elle habite la capitale de la province, Québec, qu’elle me lit depuis peu et semble fortement intéressé à me connaitre. Nos twits sont rapidement devenus salaces et très chauds. Plus le tout continuait, plus il m’était dur de me lever de mon siège, une bosse dans un pantalon n’est malheureusement pas une excellente chose à montrer au bureau!
Puis je lui dis, premièrement en blague, qu’elle me donne bien l’envie de faire 300 km pour la voir… la toucher… la baisée.
Elle me répond prestement qu’elle aimerait bien et puis de fil en aiguille, le plan commence à s’échafauder et rapidement, mon weekend, du moins, ma journée de samedi, se dessine pour être extrêmement bourrée d’excitation et de gémissement. La suite de la semaine n’était que pure torture avec elle, nous nous écrivions en détail comment se passerais les premiers ébats et encore une fois, le syndrome de pas se lever du siège reviens me hanter quelques fois par jour.
Mais encore fallait-il trouver un alibi pour que ma femme ne se doute de rien, après tout, partir sur un « road trip » à Québec sans explication peut faire en sorte qu’elle se pose de nombreuses questions, du fait, mon deuxième emploi sert aussi de couverture à ces voyages improviser. Prétextant rencontrer quelqu’un pour ce travail, elle a tout pris. Naturellement, avant de partir, elle ne pouvait me laisser sans un petit souvenir. Le jeudi soir, nous avons fait l’amour de manière animale et vigoureuse. Elle de son côté est satisfaite pour un petit bout, je pouvais partir l’esprit tranquille vers la capitale et assouvir mes nouvelles envies.
Les trois heures de route furent réellement un calvaire, mais dès mon arrivée, l’accueil fut plus que plaisant. Elle m’attendait, en petit déshabillé rouge et noir, sans dessous, souriante et pleine d’envies perverses… J’en étais ravi.
Après 15 petites minutes de discussions, mes lèvres trouvèrent les siennes et mes mains était dans sur ses seins. Nos langues dansèrent un délicieux et sensuel tango tandis que nos mains s’y mettaient à caresser de multiples parties de nos corps. Ce ne fut pas long avant que nous ayons transféré à la chambre à coucher et que mes doigts ont trouvé rapidement sa vulve moite de désir. Elle de son côté c’est affairé à défaire mon pantalon et libérer ma verge très dure. Sa bouche s’est mise au travail et j’en étais que figé de plaisir pendant que de nombreuses stimulations attaquaient le gland de mon membre.
Mes doigts, eux, continuaient de pistonner sa chatte maintenant ruisselante, à chaque entrée, elle me le faisait savoir d’un délicieux gémissement. Quelques minutes plus tard, j’explose dans sa bouche et de son côté s’assure qu’aucune ne goute de ma semence chaude n’échappe de sa bouche. Une fois terminé, je m’affaire à sa chatte et lui offre une longue et très savoureuse léchée de sa perle. Ses gémissements n’étaient que le carburant dont j’avais besoin pour continuer à lui dévorer sa chatte chaude.
Quelques moments plus tard, elle me demande de la prendre, telles nos discussions, elle se met à quatre pattes et me présente sa chatte, toujours si humide. Ma queue revenue dure après une période de repos, je me glisse en elle et nous reprenons nos ébats avec intensité… Puis avec son accord, j’ai passé par la porte de derrière et lui ai donné une séance très satisfaisante d’anale. Réellement, ce fut le pied!
Mon retour, quant à lui, a été relaxe, mais plaisant, je ne pouvais rester le matin pour continuer, étant attendu chez la belle famille pour l’heure du diner, à Mirabel… Mais ce fut un 3 heures de route plein de belles images!