« Dirty Nymph »

Un titre anglais pour une aventure tout ce qui a plus de Québécoise! La semaine dernière, au travail, je commence à rédiger mes maintenant célèbres « Mercredi Sexe » sur mon fil Twitter. J’ai pu obtenir plusieurs lecteurs et lectrices avides qui s’amusent à lire ses tribulations de poche rapidement consommée. J’adore lire les réponses des différentes personnes qui me suivent et parfois s’extase à les lire.

Puis un nouveau visage apparait sur celles et ceux qui me répondent. Son image sur Twitter m’accroche de ses cheveux d’une couleur de feu. Je m’y mets et la salue en messages personnels. De fil en aiguille, j’apprends qu’elle habite la capitale de la province, Québec, qu’elle me lit depuis peu et semble fortement intéressé à me connaitre. Nos twits sont rapidement devenus salaces et très chauds. Plus le tout continuait, plus il m’était dur de me lever de mon siège, une bosse dans un pantalon n’est malheureusement pas une excellente chose à montrer au bureau!

Puis je lui dis, premièrement en blague, qu’elle me donne bien l’envie de faire 300 km pour la voir… la toucher… la baisée.

Elle me répond prestement qu’elle aimerait bien et puis de fil en aiguille, le plan commence à s’échafauder et rapidement, mon weekend, du moins, ma journée de samedi, se dessine pour être extrêmement bourrée d’excitation et de gémissement. La suite de la semaine n’était que pure torture avec elle, nous nous écrivions en détail comment se passerais les premiers ébats et encore une fois, le syndrome de pas se lever du siège reviens me hanter quelques fois par jour.

Mais encore fallait-il trouver un alibi pour que ma femme ne se doute de rien, après tout, partir sur un « road trip » à Québec sans explication peut faire en sorte qu’elle se pose de nombreuses questions, du fait, mon deuxième emploi sert aussi de couverture à ces voyages improviser. Prétextant rencontrer quelqu’un pour ce travail, elle a tout pris. Naturellement, avant de partir, elle ne pouvait me laisser sans un petit souvenir. Le jeudi soir, nous avons fait l’amour de manière animale et vigoureuse. Elle de son côté est satisfaite pour un petit bout, je pouvais partir l’esprit tranquille vers la capitale et assouvir mes nouvelles envies.

Les trois heures de route furent réellement un calvaire, mais dès mon arrivée, l’accueil fut plus que plaisant. Elle m’attendait, en petit déshabillé rouge et noir, sans dessous, souriante et pleine d’envies perverses… J’en étais ravi.

Après 15 petites minutes de discussions, mes lèvres trouvèrent les siennes et mes mains était dans sur ses seins. Nos langues dansèrent un délicieux et sensuel tango tandis que nos mains s’y mettaient à caresser de multiples parties de nos corps. Ce ne fut pas long avant que nous ayons transféré à la chambre à coucher et que mes doigts ont trouvé rapidement sa vulve moite de désir. Elle de son côté c’est affairé à défaire mon pantalon et libérer ma verge très dure. Sa bouche s’est mise au travail et j’en étais que figé de plaisir pendant que de nombreuses stimulations attaquaient le gland de mon membre.

Mes doigts, eux, continuaient de pistonner sa chatte maintenant ruisselante, à chaque entrée, elle me le faisait savoir d’un délicieux gémissement. Quelques minutes plus tard, j’explose dans sa bouche et de son côté s’assure qu’aucune ne goute de ma semence chaude n’échappe de sa bouche. Une fois terminé, je m’affaire à sa chatte et lui offre une longue et très savoureuse léchée de sa perle. Ses gémissements n’étaient que le carburant dont j’avais besoin pour continuer à lui dévorer sa chatte chaude.

Quelques moments plus tard, elle me demande de la prendre, telles nos discussions, elle se met à quatre pattes et me présente sa chatte, toujours si humide. Ma queue revenue dure après une période de repos, je me glisse en elle et nous reprenons nos ébats avec intensité… Puis avec son accord, j’ai passé par la porte de derrière et lui ai donné une séance très satisfaisante d’anale. Réellement, ce fut le pied!

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Mon retour, quant à lui, a été relaxe, mais plaisant, je ne pouvais rester le matin pour continuer, étant attendu chez la belle famille pour l’heure du diner, à Mirabel… Mais ce fut un 3 heures de route plein de belles images!

En route (Partie 1)

Ça faisait un bout que je n’avais pas eu la chance de profiter d’une escapade avec une de mes amantes, un weekend complet sans avoir à appeler ou de donner des comptes à quiconque. Mon alibi, un congrès de formation à Toronto quand en fait, je partais en direction d’Ottawa pour aller voir une belle amie Ontarienne.

Nous nous étions donné rendez-vous devant son bureau le Vendredi soir. Dès qu’elle monte, je vois qu’elle avait pris avec soin son tailleur pour attirer mon regard, décolleté plongeant, ses jambes presque découvertes avec sa jupe à ras les fesses. Un joli motif se dessine sur ses bas collants. Bref, j’avais une difficulté incroyable à la regarder droit dans ses yeux vert profond… Mais elle ne me laissa pas la chance de pouvoir la regarder et ses lèvres rejoignaient déjà les miennes et sa langue valsait avec la mienne.

Après ce long baisé, elle me regardait du siège passager et caressait le galbe de ses seins en me lançant «I missed you»… Moi aussi, elle m’avait manqué…

Une fois mis en route, nous avions décidé de notre restaurant qui était à plus d’une demi-heure de voiture. Qu’à cela ne tienne, nous étions déjà en route vers notre possible bouffe.

Nous conversations de choses et d’autre, mais je remarquai vite qu’elle faisait plusieurs choses en même temps. Ses mains caressaient sa peau et pétrissaient ces seins généreusement. Ma concentration divergeait entre elle et la route. Elle respirait fort, gémissait à caques touchées. Puis sa main se glissa entre ses jambes et je compris que ce n’était pas que des collants, mais bien des basses jarretelles qu’elle portait.

Mes yeux rivés sur la route, j’entendais ses doigts frotter sa chatte excessivement mouillée, ses doigts faisaient un va et viens sonore qui n’y allait que de vitesse et rapidement les gémissements était remplacé par des cris. Puis… Plus rien.

Un regard furtif sur la scène me fit voir que non seulement elle était maintenant avec ses mamelles sorties de son décolleté, mais ses jambes écartées et donnant pleine vu sur sa chatte excessivement moite. Elle ne prit pas un moment de repos et sa main vint se porter sur mon jean, plus précisément mon entrejambe…

À suivre…

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Chez les érudits

Ça va faire un bail que je n’ai pas écrit mes aventures. Il faut croire que ma vie pleine de rebondissements et revirements m’empêche de continuer ma quête de plaisirs sensuels et coquins. Vint une amante qui me dit simplement que s’en était fini beaucoup trop tôt… Puis un vide puis un calme…

Mais rapidement, le destin a voulu que ma quête pour du plaisir divin recommence à nouveau! Quand on parle de calme, on parle de possibilité, de recherche, d’amusement, d’aventures… C’est ce qui s’est passé avec cette jolie femme rencontrée dans un lieu bien peu ordinaire…

En sortant du bureau, je commence mon deuxième emploi, qui constitue d’écrire, mais malheureusement pas ici! Étant donné que la maison n’offre pas souvent l’opportunité de calme et cette possibilité de ce concentré, je cherche souvent des lieux plus saillants à mon activité qui demande les facultés d’un cerveau déjà endormis par le travail du jour. Les cafés sont, malheureusement pour moi, trop bruyants ou trop intéressants pour que je puisse être à ma pleine efficacité…

J’ai alors élu les bibliothèques universitaires, qui servent de dortoirs et de salles d’étude pour la majorité des gens du milieu, par chance, certaines sont ouvertes au public et donc, je m’en sers souvent comme bureau clandestin pour mes écrits. Rare se fait les âmes qui peuvent me distraire… C’est donc un endroit de prédilection pour ma matière grise qui n’en peut plus d’être utilisé.

Mais ce soir, alors que j’étais dans ma zone et que tout semblait pointer pour finir ce maudit texte qui trainait depuis beaucoup trop longtemps… Une femme aux cheveux noirs, au joli visage rayonnant. Vêtue d’un simple chandail avec une encolure en V noire et une jupe souple mi-cuisse et de petit soulier ballerines tous deux noir également vint s’assoir à mes côtés. Je fus quelque peu surpris étant donné que la table de travail était relativement vaste et que j’y étais le seul assis. Spécialement du très joli sourire dont elle m’a donné le pur plaisir de voir.

Clairement, je ne crois pas que ses livres de droit, avec lesquels elle est arrivée, étaient l’accent de sa visite ce soir…

Mais étant donné que j’étais sur un délai plus serré pour mon texte, j’ai rapidement brisé de mon envoutement pour rapidement retourner à mes successions de mots. Ce n’est que quelques petites minutes plus tard que j’entends un soupir. D’un coin de l’oeil, j’observe cette divine beauté qui semble lire, mais ce qui me semblait quelque peu étrange était le fait qu’elle était plus reculée que la posture normale sur le banc long en bois. Autre petit détail, sa jupe était assez relevée pour que je remarque que ces bas collants sont tenus par une jolie jarretière…

N’étant pas sur si elle voulait attirer mon attention ou non, je retournai à mes textes encore une fois… Mais pas plus que 30 secondes plus tard, sa main effleure la mienne et mon regard se tourne et immédiatement, sa cuisse est presque dénudée de son tissu… Je compris l’astuce et répondis alors à l’invitation de cette charmante femme.

Je fis semblant de ne pas voir son audacieuse proposition silencieuse et j’attendis qu’elle retourne fouille dans son bouquin, cuisse toujours dénudée… Puis ma main était sur sa cuisse… Au début, je l’effleurais doucement, sans vouloir prétendre… Son visage était divin à regarder… Elle ne pouvait pas trahir sa tranquillité, ce qui donnerait à un passant un signal que quelque chose d’inhabituel est en train de se tramer!

Ma main se mit plus fermement sur la peau douce de sa jambe. Elle semblait adorer cette certaine fougue et elle joignit sa main sur la mienne pour mieux la guider vers où elle voulait que je la caresse… Rapidement, l’autre jambe était touchée par ces caresses qui n’arrêtaient donc plus… Et chaque fois que j’étais près de sa chatte, je pouvais sentir une chaleur incroyable émanant de celle-ci et entendre un soupir retenu de cette charmante liseuse de livre.

Éventuellement, mes doigts commencèrent à travailler doucement son entrejambe, sa culotte de dentelle trahissait les envies de ma tentatrice. Celle-ci était mouillée à souhait et je ne pouvais m’empêcher de sourire à cette réalisation. Et sans cérémonie, je déplace le tissu pour explorer sa vulve chaude. Elle échappa un petit gémissement étouffé lorsque j’atteins sa petite perle précieuse. Mes doigts étant maintenant sur de sa location, se concentrerez sur celle-ci.

Sa main qui me guidait n’était plus sur la mienne, mais bien sur mon entrejambe caressant mon membre durcissant à chaque passe. Mais elle ne semblait pas pressée de le sortir… Sage femme, car ceci pourrait escalader trop rapidement!

Pendant qu’elle s’affairait à me retourner l’appareil, mes doigts n’en étaient plus à la caresser, ils étaient maintenant bien enfouis dans sa chatte ruisselante. Chaque petit coup la faisait encore plus craquer de ses aires studieuses.

Mais elle me retira la main de là très rapidement et suça mes doigts. Elle prit ses livres et fit signe de suivre… Probablement pour continuer cette intéressante étude chez les érudits…

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Double espresso

Le matin, j’aime aller au café près de mon travail, cette machine qui mâche des travailleurs moroses et qui recrache des travailleurs un peux plus heureux, avec un verre en papier empli de leurs saluts. Les files d’attente sont ridiculement longues, mais je suis rarement pressé, car chaque matin, j’aime prendre mon temps et déguster mon premier café à une table tout en admirant la jungle urbaine de Montréal de la baie vitrée du restaurant.
Depuis un certain temps, je peux me permettre de faire un salut au chef barista, maintenant un bon ami à moi et ma commande, un double espresso allongé, sont passé, pas de file d’attente, pas de pied de grue, je suis assis devant ma baie vitrée et j’attends que mon nom soit crié, dans la cohue des serveurs. À la réception du café, on retrouve son nom à la tasse, étrangement, le point sur l’I, depuis quelque temps, est remplacé par un coeur. Un regard au comptoir et on voit qui est le malfaiteur!

Une des baristas, une fille d’environs 20 ans, prend un plaisir presque effrayant de crier mon nom et de me servir le café avec le sourire. Il faut aussi dire qu’elle m’est tombée dans l’oeil la première journée que j’ai mis les pieds dans l’établissement. Elle de taille moyenne, cheveux noirs d’encre avec quelques piercings et un tatouage sur le bras. Son uniforme cache quelque peut de ses courbes, mais on peut rapidement noté qu’elle bénéficie d’une poitrine ajustée à sa taille. Ses cheveux toujours attachés en queue de cheval. Vous me direz que cela fait contraste avec moi, l’homme en chemise, pantalon propre et soulier de villes, mais c’est que j’ai un faible pour ces femmes avec un côté fou et un peux plus agressif.

Ce matin, comme l’habituel, je commande mon café, m’assis et attends. Mais cette fois-ci, ce n’est pas ma belle barista qui me lance l’appel. Bien déçu, je récupère mon café du proprio et va me rassoir à ma place. C’est alors que je remarque qu’il y a bien plus que mon nom d’écrit sur le verre de café.

« Olivier, la ruelle derrière le café, dans 10 minutes… » -M

Par en jugé l’écriture, nul doute que ma barista veut me voir à l’arrière, je sirote alors mon café doucement, chaque minute se faisant attendre… Puis 2 minutes avant le temps prescrit, je prends ma veste et me dirige vers cette ruelle. La lumière du matin ne se rends pas encore et il fait relativement sombre, néanmoins, je discerne la silhouette familière de la serveuse. J’arrête devant elle et elle me lâche de sa belle voix un joli « Salut ».

Sans que j’aie le temps de répondre, ses lèvres étaient sur les miennes avec ses bras autour de mon coup. Rapidement, nos langues s’entremêlent et nos mains caressent rapidement nos corps. Mes mains se retrouvent sous son chandail de travail pendant qu’elle continue d’explorer chaque recoin de ma langue avec la sienne. À ma surprise, mes mains n’atteignirent pas un soutien-gorge, mais une poitrine bien ferme avec des mamelons érigés d’excitation… Nul besoin de vous dire que ce n’était pas la seule chose d’ériger dans cette altercation…

Elle me lâche la bouche suivant un filet de salive de notre très long french… Elle me sourit avec un regard des plus mesquins et s’accroupit devant moi. Ses mains et ses petits doigts agiles ne prennent que quelques secondes pour relâcher mon pantalon pour y déloger ma verge durcie. Elle l’empoigne d’une main et elle commence à exécuter un va et viens constant, ses yeux rivés sur les miens avec un des sourires les plus cochons qui m’est eu donnés de voir. Sa bouche se rive sur mes testicules et les lèches tout en me masturbant vigoureusement.

Puis sa langue remonte le long de ma queue, doucement et de manière agonisante jusqu’au gland et puis fait le tour de ce dernier en faisant sûr qu’aucun millimètre n’est pas passé sous sa langue percée. Puis sa bouche s’applique finalement, mais suce de manière plus que féroce, je sens l’étroitesse de sa bouche avec la succion qu’elle donne. Au même moment, ma main agrippe sa queue de cheval et la tire, pour montrer mon appréciation…

Elle enchaine avec des presque coups de tête pour sucer ma queue, le relâche de temps en temps pour rire et me demander si j’aime me faire sucer par elle… Bien sûr que j’y réponds oui! Et elle continue de plus belle… Ce beau manège aura duré une vingtaine de minutes… J’explose dans sa bouche, mais quelques gouttes de mon foutre tombe sur son gilet… Elle avale le reste et puis m’embrasse langoureusement… Elle me dit que ces taches passeront pour du lait et puis elle me remercie du déjeuner que je lui ai procuré…

Elle retourna dans le café et moi, vers mon travail… C’était vraiment plus efficace qu’un double espresso ce matin!

Ottawa

Après 3 heures de route interminables et une température exécrable sur le chemin vers Ottawa, j’étais tout de même de très belle humeur. Le soleil venait finalement de se pointer au moment où ma voiture vient à se garer dans le stationnement de l’hôtel Château Laurier. Visiter la capitale de notre beau pays en solo durant le weekend du 1er juillet, cela promettait!

Valise installée et la soirée naissante, je décidai de quitter mon nid incroyablement douillet pour me diriger vers un des nombreux bars de la ville. J’arrive et une fois que j’ai ma bière à la main, je m’immisce dans un groupe de joyeux fêtards heureux d’avoir un long congé. Et je m’épris d’un joli brin de fille nommé Kathy, qui a brisé la glace en m’annonçant que mon accent français était des plus craquants. Inutile de vous dire que ce la conversation s’est continuée sur ma provenance!

Et quand j’ai dit jolie, elle m’as tombé dans l’oeil dès l’instant que je l’ai vue! Elle est rousse naturelle avec de petits reflets rouges, fait environ 5 pieds 4 pouces, porte une veste noire ouverte agrémentée d’une camisole blanche conservatrice, mais qui semblait avoir été moulée sur sa poitrine. Elle portait aussi une jupe courte crayon d’un rouge vif qui venait ajouter à ses escarpins de la même couleur.

Kathy me raconte qu’elle sort du boulot et qu’elle vient célébrer le long weekend avec des amies, mais que ma rencontre était fort bienvenue, car elle adore les gens du Québec, venant elle même de La Tuque. Sans grand étonnement, elle travaille pour le gouvernement et eux profitent très bien de la célébration.

Malgré cela, 11 heures passées, elle m’annonce qu’elle doit retourner chez elle, mais me laisse son numéro de téléphone pour le weekend, elle veut me revoir…

Le lendemain, soit le samedi, je fis appel à un service de messagerie pour faire livrer un double de ma clé d’hôtel à cette belle inconnue. Certes un pari risqué, j’aimais mieux ajouter à l’intrigue et préparer une soirée des plus royale dans ce palace. Le jeu en valait la chandelle, car j’en étais doublement excité.

Sur l’invitation, elle pouvait lire:

Bonjour,

Tu voulais me revoir, voici la clé pour que ça se réalise…
Suite 403… Je t’attends…

Olivier

La soirée vint et tout y était, mousseux, repas délicieux et ambiance feutrée. Puis, le temps passe… 7 heures… 8 heures… Qu’à cela ne tienne, j’aurai une soirée pour moi! Et au moment que je m’apprêtais à ouvrir le mousseux, j’entends le déclic de la porte qui s’ouvre. C’était bien elle, présente de sa jolie stature, dans un habit beaucoup plus révélateur que la veille.
La porte se referme, aucun mot n’est dit, je suis à peine lever qu’elle me prend par le collet et me plaque un baisé langoureux. Se mains, parcourant mon corps, ses doigts habiles détachant les boutons de ma chemise. Son long baisé est suivi d’un deuxième, d’un troisième… Je n’ai plus que mes boxers sur le dos, une bosse bien dure érigée vers elle…

Mais mains vont sous sa veste, je remarque que sa tenue est en fait un bustier et je me mets à caresser ses seins bien enveloppés dans cette armure… Au même moment, une de ses mains est sous ma dernière pièce de vêtement et s’empare de ma verge qui pulse d’excitation. Elle défait le lacet qui relâche sa belle poitrine blanche dans les airs avec son autre main et c’est alors que ma bouche quitte la sienne pour rejoindre ses mamelons pour les lécher, les mordiller, les sucer…

Elle soupire et gémit, sa main exécutant un va et viens sur ma queue, son autre main caressant ma tête et ma nuque durant le ravage de sa poitrine. Cependant, elle lâche tout pour me relever la tête vers elle et m’embrasser de nouveau. Puis ce dernier se succède de petit baisé descendant vers ma verge. Sans trop attendre, elle se met à jouer avec mon gland de sa langue, que je sais maintenant très habile, son autre main sous son string rouge feu, se caressant de manière déchainée…

Inutile de vous dire que ce manège ne dura pas longtemps… Elle me fit venir et avala la plus grande partie de ma semence… Se léchant les lèvres… Elle me regarde et me demande la suite de ce souper…

Salon Officiel

Un de ses moments plus crus que vous avez vécu est probablement étrange, passager, un flottement ou un acte sauvage, mais libérateur. Souvent, ces moments crus sont avec une fille qui ne demande que d’être prise et veut se faire sauvagement prendre. Elle nous regarde de toute son envie, sa sensualité émane de ses yeux et ne dis que deux mots : « Prends-moi ».

Elle était au bar où je me trouvais pour un 5 à 7 bien ordinaire avec des collègues, après quelques bières, beaucoup d’oiseaux de jour partirent vers leur vie familiale. Puis, j’étais seul dans une nuée de gens dans ce petit bar près du Métro Sherbrooke. Il était que 7 heures et quart et je ne voulais repartir chez moi en ne sachant plus trop quoi faire de ma soirée et terminé ça en plaisir masturbatoire qui marquerait la fin d’une soirée terne. Je décidai de boire et de voir si je pouvais communiquer avec la nuée d’étrangers dans l’endroit.

Puis, je la remarquai, elle était assise sur un tabouret, ses jambes enrobées d’un bas filet noir et de petits escarpins mauves. Elle avait une ravissante robe de soirée donnant une vue pleine sur son décolleté et sa petite poitrine généreuse. Ses cheveux courts d’un blond platine étaient harmonieusement mariés à ses yeux d’un vert absolument clair et de lèvre rendue rose-bonbon par son rouge à lèvre avec gloss. Une vue intimidante, mais si excitante. Elle regardait au loin, cherchant elle aussi à communiquer avec un étranger, connecté et transformer sa soirée en succès. Je pris donc le courage que bien des hommes qui l’observaient de loin n’avaient pas et j’abordai la conversation avec elle.

Elle se nomme Trish, travaille dans un bureau à Toronto, possède un accent anglophone absolument mignon. Elle est de passage à Montréal pour le boulot, mais a voulu passer une soirée dans le fameux nightlife montréalais. Malheureusement pour elle, ses collègues de travail n’ont pu la suivre et de fil en aiguille elle se retrouve seule dans un bar entouré d’inconnus.

Puis, je lui ai donné mon engagement que, non seulement, je sauverai sa soirée, mais que j’y ferai profiter du Nightlife à 100 milles à l’heure. À cette proposition, elle rit et fut très enjouée. Nous commençons par quelques shooters et nous engageons des conversations plus personnelles, les amours, la famille, le sexe. Il se trouve qu’elle est mariée et qu’à cause de son boulot, elle ne peut voir son mari que très peu. C’est alors qu’elle me chuchote à l’oreille qu’elle en profite durant ses voyages pour se relâcher. Pendant qu’elle glissait ces mots, sa main caressait doucement l’intérieur de ma cuisse tout près de mon entrejambe. Pour faire passer le tout, je commande une autre série de shooters.

Aussitôt ingurgitées, ses lèvres vont se connecter sur les miennes et nos langues dansent un tango sulfureux, quoique quelque peu maladroit. Blâmons l’alcool là-dessus! Puis elle me dit que nous devrions retourner à sa chambre d’hôtel en taxi pour « terminer » notre soirée. J’accepte avec un grand sourire et dès lors, nos langues continuèrent leurs danses.

Elle met son petit manteau et hop, nous somme dans le taxi, elle mentionne l’hôtel OPUS puis nous retournons à nous dévorer les lèvres. Ses mains étant extrêmement baladeuses, je décide de me venger en lui caressant les cuisses jusqu’à en remonter le bas de sa robe. Mes doigts agiles frottent sur son string en dentelles et elle écarte ses jambes du même coup, en gémissant fortement. Prêt à parier que le chauffeur de taxi était absolument déconcentré!

Arriver à la chambre, les manteaux par terre, ce ne fut pas long que j’aie déjà les pantalons aux genoux et que ses lèvres roses fût autour de mon membre dur. Elle me regardait avec des yeux intenses pendant que ses doigts glissaient à l’intérieur de sa chatte ruisselante. Une poignée de sa crinière platine, je donnai des coups de bassins chaque fois qu’elle exécutait l’entrée de son va et viens. Elle gémissait presque à chaque coup de bassin et lâchait parfois mon membre pour lécher mes testicules.

Puis, c’est là le moment fatidique qu’elle me regardait de ses yeux si intenses qu’il aurait pu mettre la suite de l’hôtel OPUS en feu. Ce ne fut qu’un bref instant avant que ma queue soit bien au fond de sa chatte pendant qu’elle entourait ses jambes autour de ma taille et ses mains autour de mon coup pendant que je dévorerais ses mamelons, elle dos au mur.

Ce fut une soirée mémorable et mon prochain voyage à Toronto promet énormément avec elle qui m’attend impatiemment!

 

Le Restaurant

J’aime pouvoir prendre un bon repas en bonne compagnie autour d’un verre de vin ou de bière, tout dépendant de la compagnie à laquelle je m’entoure. Parfois un repas devant un match de hockey avec des amis avec de la malbouffe et de la bière à n’en plus finir finit souvent en joyeuse compagnie saoule qui déambule à la maison. Un plaisir purement viril.

Mais parfois j’aime un repas plus doux et plus harmonieux avec une discussion qui va chercher le deuxième niveau d’intérêt. C’est souvent en compagnie d’une femme que je m’offre ses petits plaisirs épicuriens une fois de temps en temps, parfois de l’Asiatique, parfois de l’italien, tantôt arabe sinon français. Étonnement, j’y vais seul pour le plaisir d’une bonne bouffe.

C’est dans un de ses moments qu’une soirée extrêmement chaude débuta. J’avais décidé de faire un long détour au centre-ville de Montréal pour arriver à l’improviste dans un restaurant dont je me suis attaché, un bon repas italien avec un verre de rouge sachant magnifiquement bien se marier. Après une longue journée de travail, c’était la récompense ultime!

J’arrive et suis chanceux, une table est libre! Une fois placé, je fouine sur mon téléphone puis consulte le menu. Je vois alors un joli brin de fille qui semble désemparé, car toutes les tables sont prises malgré le fait qu’elle était seule. Sans réfléchir, je fais signe à l’hôtesse de l’invité à ma table. Avec tout mon étonnement, elle accepte et m’offre un de ses beaux sourires.

En s’avançant vers la table, je fis vite de remarquer les détails que je ne pouvais voir de loin : Elle est blonde-doré, des yeux verts séducteurs et au premier coup d’œil, elle porte son rouge à lèvres qu’elle à probablement rafraichis, elle porte un petit manteau de laine bleu et porte une jupe très courte, car tout ce que je voyais était ses jambes dans un nylon et des petites bottes à talons haut. En retirant son manteau, un chemisier coloré se découvre avec un petit décolleté conservateur qui néanmoins donne justice à son buste moyen, mais qui semble ferme. Bref, étrangement un compagnon de table très plaisant à avoir!

Elle me remercie ,aussitôt, mentionnant à quel point je suis un gentleman, nous nous présentons, elle se nomme Karine et travail dans un bureau du centre-ville comme adjointe administrative. Puis elle lance immédiatement la blague qu’elle ne pensait pas avoir un tête-à-tête en venant manger à ce resto. Je lui fais part que non, mais la compagnie est toujours la bienvenue.

Nous commandons de ce pas puis nous enchainons la conversation autour d’un verre de rouge, le « Ménage à trois », de ma proposition. Nous parlons de tout et de rien et vite elle me partage le fait qu’un gars de son travail n’arrête pas d’y demander une sortie ensemble même si elle refuse constamment. Elle est frustrée de tout cela et voulait simplement oublier le tout en venant au resto.

Lorsque nos plats arrivent, je décide d’être l’exécuteur de son plaisir et fais signe au serveur de nous apporter une bouteille du verre que nous avons bu. Karine me sourit en me disant que ce n’est pas nécessaire, mais j’insiste, une journée ennuyante avec un gars énervant valait sa bouteille de vin!

Notre repas continue et la bouteille se vide rapidement, une autre est demandée et rapidement mise sur table. Puis l’alcool retire la gêne et notre conversation prend rapidement un air coquin et séduisant. Elle mentionne immédiatement que je suis dans sa palette d’homme, quoique je suis un peu plus jeune qu’elle, elle ne peut que regarder mon visage, mes lèvres… Et je mentionne qu’elle avait accroché mon regard de sa jolie stature. Puis on joue à la question qui tue en osant de plus en plus, elle me demande ma position favorite, je lui demande ce qu’elle ferait à un homme nu devant elle, elle me demande ma taille, je lui demande son bonnet.

Facture payée, elle me propose d’aller prendre un café chez elle, j’accepte joyeusement, la soirée ne fait que débuter tant qu’à moi. C’est en sortant du restaurant qu’elle me plaque un baisé langoureux et me chochotte à l’oreille que son appartement n’est pas très loin, tout en me prenant l’entrejambe vigoureusement.

Dès la porte fermée, elle me plaque contre celle-ci et défait mon pantalon, sans un mot outre que ces gémissements comme si elle était littéralement affamée, puis se met à genoux devant moi. Elle commence à me sucer la queue très vigoureusement en y mettant de la langue et de la vitesse, son rouge à lèvres tenait le coup (dieux merci), mais sa cadence était délicieuse. Puis elle arrête voyant qu’à ce rythme, je ne tiendrais pas longtemps!

Elle ôte son manteau et défait son chemisier révélant sa jolie poitrine. Puis d’un geste rapide, sa très courte jupe n’est qu’histoire ancienne, elle se retrouve en bas jarretelles et string. Je l’empoigne contre moi puis glisse mon index sous sa culotte pour frotter sa chatte vraiment humidifiée pendant que ma bouche connecte avec la sienne et nos langues font un tango des plus enflammés. Puis mon doigt glisse à l’intérieur de sa vulve enflammée et ma bouche rejoint ces mamelons…

Bref, deux heures plus tard, nous sommes tous deux en sueurs sur son divan et elle se lève aussitôt pour me mener au lit pour « continuer » notre café…

Nous nous parlons toujours moi et elle, mais j’ai su qui était le pauvre gars qui voulait bien l’avoir… Un de mes meilleurs amis… Dommage pour lui  🙂

Une aventure avec Niya au bureau

Il m’arrive souvent de faire des heures supplémentaires au bureau et de rester relativement tard à la maison. Ce genre de situation occasionne souvent que ma conjointe dort à point fermés lorsque j’arrive et malgré la fatigue, je bouillonne d’envies. J’ai vite appris qu’on ne réveille pas une dame qui dort lorsque la maison n’est pas en feu et que notre motif enflammé n’est pas celui d’une urgence nationale.

Mais je m’écarte du point de ce billet, en cette journée de la semaine qui est dédié à la chose que nous adorons tant, soit le sexe !

Durant mes longues heures au bureau, je suis souvent seul a travailler sur les multiples dossiers et éléments importants qui doivent être terminer soit hier, soit demain ou soit aujourd’hui,. Pendant un temps, je m’adonnais aux libertés qu’un bureau ne pouvait permettre, soit boire une bière durant le travail, parler au téléphone avec mes potes ou tout simplement écouter de la musique à tue-tête. Bref, j’aimais bien cette solitude au bureau.

Puis le département engagea un joli brin de femme nommé Niya. Le teint basané, des yeux verts profonds, des lèvres charnue, des seins bien durs et des courbes de rêves. Bref, la parfaite assistante administrative pour un patron pervers ! Elle fait tourner les têtes à chaque passages, ses tenues conservatrices mais révélatrices par le moules des formes. Elle était toujours la discussions des gars autours du diner et toujours celle qui nous déconcentrait lorsqu’elle passait dans le coins.

La pauvre Niya était timide de nature, chaque fois que je devais traiter d’un dossier avec elle, elle ne parlait presque pas, me regardait à peine dans les yeux. Mais elle était tout de même ferme et voulait régler les éléments rapidement. Au début, je croyais qu’elle me détestait ou me méprisait pour une raison que j’ignore. Je me suis vite ravisé de cela.

J’ai vite remarquer par mes multiples soirées au bureau que Niya était aussi présente, surchargée dans des piles de documents, mais toujours droite et efficace. Elle était ma torture du soir, me déconcentrant lorsque je travaillait, même si je la savait à l’autre bout de la pièce.

Puis vint un jour où la chance me sourit. Niya avait un dossier à régler avec moi et par chance, j’étais là ce soir là . La conversation tranquillement pris le côté personnel, tout deux fatiguer de nous journées interminables. Je lui offris la bière, caché dans un réfrigérateur secret du département et elle accepta avec grand enthousiasme. Pour la première fois, je voyais la vrai Niya, celle qui ne penses pas seulement à la tâche à faire.

Nous discutâmes de trucs divers puis de nos relations qui bâtait de l’aile. Elle souffrait du même problème que moi, toujours à rentrer tard, elle sentait que son couple n’allait plus, elle ne parlait plus à son mari et que malgré qu’elle l’aime, elle ne sent plus la passion. Connectés à ce moment, nous continuâmes à boire au point où l’alcool eu finalement son emprise sur nous deux.

Puis la conversation vint plus coquine, nous parlâmes des multiples choses que nous aurions aimer faire avec notre conjoint et vint les rapprochements, les caresses puis une confession de Niya. La raison pourquoi elle était peut loquace ou si stricte avec moi est parce que je lui plais, même énormément. Elle ne voulait surtout pas trahir son mari et elle se distanciait de moi par devenir quelqu’un de froid à mon égard. Je lui répondu qu’elle me plaisait aussi, que chaque fois que je le voyais, je la voulait, toute entière.

Après un long silence, nos lèvre se sont entrechoqués et quelque secondes plus tard, elle glissa sa langue dans ma bouche et sa mains était déjà dans mon entre jambe. Je vis vite qu’elle était agressive et voulait le faire là, au bureau. Je la laissa faire, profitant d’un baisé des plus délicieux, je sentit ma ceinture se défaire de ses mains expertes puis ma fermeture éclaire était ouverte. Elle continua de m’embrasse dans le cou pendant qu’elle frottait furieusement ma verge. C’était divin.

Puis elle sortie ma queue en baisant mes boxeurs et descendit rapidement la lécher de tout son long, se laissant caresser sa poitrine toujours couverte de son tailleur par mes mains affamés de contacts coquins. Ses lèvres charnues engloba mon gland et puis elle commença un vigoureux mouvement de va et viens. À ce moment je fermai les yeux et gémis doucement.

Ce manège dura un délicieux 20 minutes, durant ce temps, j’ai défait son chemisier et caressait une relativement large poitrine au bout si durs, je les roulait entre mes doigts. Puis je jouit dans sa bouche. Elle avalât tout puis m’embrassât langoureusement une dernière fois pour cette soirée.

Elle me susurra à l’oreille que tant que nous serions au bureau et que nous seront fatiguer, nous continuerons ses rencontres chaudes et libertines.

Justement… Nous avons des gros projets ces temps-ci. J’ai déjà hâte de baiser Niya sur mon bureau…